Le développement des armes à feu est allé dans plusieurs directions. Les armuriers cherchaient à augmenter leur puissance de feu, tout en essayant de rendre les armes plus mobiles et plus maniables. Au XIVe siècle, toute une classe d'armes de poing et de siège est apparue en Europe, appelée en Russie pishchal.
Instructions
Étape 1
Traditionnellement, les armes de poing, ainsi que les armes de siège et de forteresse, qui ressemblent à des canons, sont traditionnellement appelées pishchal. Pour la première fois, une telle arme est apparue à la fin du XIVe siècle. Au début, les tweeters étaient constitués de bandes d'acier attachées ensemble, qui étaient soudées les unes aux autres pour plus de fiabilité. De cette façon, il était possible d'obtenir un canon de la longueur requise. Par la suite, la méthode de coulée a commencé à être utilisée pour la production d'arcs.
Étape 2
Le pishchal à main était une arme de mêlée individuelle d'un calibre d'environ 20 mm et capable d'envoyer une balle à quelques centaines de mètres. Le poids de ces grincements atteignait 8 kg. Les premiers échantillons ne différaient pas en précision, car ils n'avaient pas de dispositif de visée. La vitesse de rechargement des couineurs à main était également faible. Il a fallu plusieurs minutes pour préparer l'arme à tirer. Au cours des hostilités, les flèches tiraient généralement des volées en même temps, ce qui rendait le tir plus dense et efficace.
Étape 3
Depuis plusieurs décennies, la production d'arquebuses s'est généralisée. Des ateliers d'armes à Pskov, Vladimir et Moscou fabriquaient plusieurs types d'armes de ce type. Les armuriers les plus qualifiés étaient considérés comme Andrei Chokhov, Stepan Petrov et Kondraty Mikhailov. Les noms de tous les artisans, malheureusement, ne sont pas parvenus jusqu'à nos jours. La plupart des exemples survivants de pishchals ont été fabriqués par des artisans inconnus.
Étape 4
Déjà au 16ème siècle, les premiers grincements de siège et de serf sont apparus. Ces armes puissantes ont été conçues pour détruire les forteresses et autres fortifications. Dans l'arsenal de l'armée russe, il y avait aussi des armes plus petites qui n'appartenaient pas aux armes manuelles. Ces "bébés" avaient une bonne efficacité et étaient utilisés pour vaincre la main-d'œuvre ennemie à des distances considérables.
Étape 5
Il y a eu des références conservées au pishchal à plusieurs canons, qui à cette époque possédait un pouvoir très destructeur. Le dispositif d'une telle arme permettait de tirer simultanément des coups de plusieurs dizaines de barils. La balle grinçante à plusieurs canons avait à peu près la taille d'un œuf d'oie et la hauteur de l'arme était comparable à la taille d'un homme. Cependant, des échantillons d'arquebuses à plusieurs canons n'ont pas été conservés dans leur intégralité, seules des descriptions de leur conception ont survécu à ce jour.
Étape 6
Au début, les grincements des mains avaient des serrures à mèche, qui ont ensuite été remplacées par des mécanismes en silex. L'amélioration de la fusée a permis de réduire le temps de rechargement de l'arme et d'augmenter plusieurs fois sa fiabilité. En Europe, les analogues de ces armes étaient les mousquets. Les grincements ont été utilisés dans l'armée russe pendant plusieurs siècles et ont été retirés de la circulation après la réforme militaire menée par Pierre Ier.